​10 choses à savoir avant #LOSCDFCO

PAR MAXIME POUSSET

Vous venez au stade demain (20h) pour LOSC-Dijon FCO ? On vous a préparé un petit pense-bête, histoire d’être incollable au moment de poser le pied (le premier de la saison) au Stade Pierre Mauroy.

1- Djion ? Un mercato très… Lillois

Arrivées : Balmont (LOSC), Martin (LOSC, p), Chafik (Laval), Allain (Red Star), Rüfli (Sion), Bouka Moutou (Angers), B.Leroy (Evian TG), Bahamoula (Monaco), Rosier (Rodez), Sarrabayrouse (Colomiers), Abdelhamid (Valenciennes)

Départs : Souquet (Nice), Jullien (Fribourg, rp), Saïd (Rennes, rp), Ngoyi (Palerme, rp), Thiam (Clermont, p), Dilo (Sochaux), Andonian (Marseille, rp), Benet (Avranches, p), Maury, Basilio (Rouen-Quevilly, p), Dutournier (Concarneau, p), Paulle, Bamba (fdc)

2- Un adversaire (aussi) en quête de victoire

UNFP – Dijon FCO : 1-1
Sunderland – Dijon FCO : 3-2
Nancy – Dijon FCO : 2-0
Metz – Dijon FCO : 2-4

Samedi dernier, les Bourguignons n’ont pas fêté leur retour en Ligue 1 par un succès. À domicile, le DFCO s’est incliné devant le FC Nantes (0-1).

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3- L’œil d’Olivier Dall’Oglio, coach du DFCO

« C’est une entame délicate pour les Lillois. Cette élimination en coupe d’Europe leur fait du mal. Sur leur dernier match à Metz, ils avaient le match en mains et le lâchent. Mentalement, ce n’est pas facile. Que ce soit le public ou les dirigeants, ils attendent une réaction de leur part. J’avais bien aimé la fin de saison de Lille. Il y avait comme un renouveau, de l’entrain. On sent que c’est une équipe qui a un potentiel au niveau offensif. Je pense à Rony Lopes qui est très efficace. On peut ressentir une absence de concentration par moments. Pour l’instant, ils l’ont payé cash… Samedi, vont-ils démarrer avec la même équipe ? »

4- Une infirmerie lilloise bien pleine

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Côté dijonnais, Marvin Martin est fortement incertain, tout comme Arnold Bouka Moutou.

160819maillot1_0.jpg5- Changement de couleur, un clin d’œil à l’histoire

Le LOSC en blanc au Stade Pierre Mauroy ? Ne cherchez pas, c’est une première. Et il va falloir s’y habituer. Car vous le savez déjà, mais cette saison (et rien que cette saison), les Dogues évolueront à domicile dans leur sublime tenue immaculée à scapulaire rouge gravé sur les pecs’. Un hommage classieux aux 70 ans du premier doublé des Lillois accompli en 1946. Vintage et d’ores et déjà collector, ce maillot. 

6- Et Dijon passe par un nouveau stade

Au rayon des premières, le Stade Pierre Mauroy aura aussi l’occasion de cocher le Dijon FCO sur sa liste des équipes ayant visité son vestiaire visiteur. Si les Bourguignons (avec Bauthéac et Sankharé dans leurs rangs) ont déjà affronté les Dogues sur leurs terres, en 2011, c’était au Stadium. Souvenez-vous.


7- La mayonnaise avait vite pris

Mais la dernière fois que Lillois et Dijonnais ont croisé le fer remonte au 14 juillet 2013 à Dijon en match de préparation. Pour sa première à la tête du LOSC, René Girard avait d’ailleurs vu son équipe l’emporter 3-2 grâce à Roux, Meïté et Origi.


8- Plutôt Chouettes, ces Dogues

À qui pense-t-on lorsqu’on se penche sur la confrontation LOSC-DFCO ? D’abord à Florent Balmont et Marvin Martin, les Lillois de Dijon, naturellement. Mais aussi à leurs alter-égo, Younousse Sankharé et Éric Bauthéac, les Dijonnais de Lille. Notre esprit se porte ensuite forcément sur Rudi Garcia et son adjoint, Frédéric Bompard, qui ont il y a quelques années apporté leur œil tactique sur nos bancs respectifs. Les plus joueurs iront enfin se souvenir que Samuel Lobé, Barel Mouko, Mathieu Robail, Alexis Zywiecki, Grégory Malicki, Arnaud Souquet ou encore Pierre-Emerick Aubameyang ont eux aussi défendu l’emblème de la Chouette et du Dogue.
 

 

9- Un retour (forcément) attendu

Comment présenter ce #LOSCDFCO sans un hommage (appuyé) à Florent Balmont ?

Florent Balmont interviewé par Rio Mavuba

Florent Balmont évoque son retour au Stade Pierre Mauroy

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Florent Balmont vu par ceux qui l'aiment

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10- Un match dans le match

L’aîné, 31 ans, pilote une riche carrière de la Ligue 1 à la Premier League agrémentée d'une cape chez les Bleus. Son cadet, 26 ans, s’est lui aussi fait les dents en France puis en Angleterre, bien qu’il découvre cette saison l’élite du foot hexagonal. Pour la toute première fois de leur carrière pro, Morgan et Romain Amalfitano seront face à face, samedi au Stade Pierre Mauroy.

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