Les Anciens Dogues au "Tournoi des Légendes" d’Esquelbecq

Les hommes de Michel Castelain ont terminé à la troisième place du "Tournoi des Légendes" organisé, samedi, par le club de l'US Esquelbecq.

Quatre équipes ont pris part samedi au tournoi célébrant les 50 ans de l’US Esquelbecq. Si dans la première demi-finale, dont le coup d’envoi fut donné par Basile Boli, la rencontre a été facilement pliée par l’USL Dunkerque face à l’US Esquelbecq All Star (3-0), dans l’autre demi-finale, lancée par Bernard Pardo et opposant les Anciens Dogues à Calais 2000, les échanges ont été beaucoup plus serrés.


À tel point qu’à la fin du temps réglementaire (2 fois 20 minutes), Lillois et Calaisiens se sont retrouvés dos à dos (0-0) et ont dû se départager lors des tirs au but. Une séance elle aussi très disputée mais qui a vu Calais 2000 s’imposer lorsque Dagui Bakari manqua sa frappe (0-0, tab. 8-7).

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Opposés à l’US Esquelbecq All Star lors la petite finale, les Anciens Dogues ont dans un premier temps vu les locaux prendre l’avantage (1-0) avant que Grégory Wimbée, sur une remise de la tête de Dagui Bakari suite à un centre de Stéphane Dumont, ne remette les Lillois dans le sens de la marche (1-1). Dagui Bakari, d’abord passeur s’est ensuite mué en buteur permettant aux siens de prendre l’avantage (1-2). Enfin, David Coulibaly est venu parachever la victoire losciste (1-3). 

Les Anciens Dogues finissent ainsi sur la troisième marche du podium, derrière l’USL Dunkerque, et Calais 2000, vainqueur de la finale (3-2).

Les Anciens Dogues : Victor Fernandez, Frédéric Dindeleux, Joël Dolignon, Pascal Cygan, Stéphane Pichot, David Coulibaly, Michel Titeca, Philippe Piette (capitaine), Stéphane Dumont, Dagui Bakari, Grégory Wimbée, Mathieu Maton

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L’œil du coach, Michel Castelain :


« Sur le premier match je pense que le résultat a été un peu fossé parce qu’on a rapidement perdu Frédéric Dindeleux qui s’est claqué sur une action. Cela nous a déséquilibrés et on a eu peu d’opportunités par la suite de prendre l’avantage. On perd au huitième tir au but, c’est le jeu. Lors de la petite finale, on s’est bien repris parce que l’on avait mal débuté la rencontre. On s’est fait prendre à froid mais on est parvenu à revenir et à nous imposer, même si les joueurs étaient fatigués car je n’avais que onze lillois à ma disposition après la blessure de Dindeleux. »

Le résumé du tournoi : 

 

Un joueur de légende pour le coup d’envoi :


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