Leurs plus beaux souvenirs de Noël (1/2)

Ces Noël-là, ils ne les oublient pas. Première partie.

Leurs crampons et leur costume de footeux laissés au vestiaire pour une trêve bien méritée, les Dogues vont passer les fêtes de fin d’année en famille. Au moment d’ouvrir leurs cadeaux, nous leur avons demandé à quoi ressemblait un Noël dans la famille Delaplace, Origi, Corchia et Souaré. Première partie d’une interview-croisée en deux épisodes.

Pour toi, Noël, c’est quoi ?

Jonathan Delaplace : C’est avant tout un moment familial, une sorte de grande réunion avec les proches. Chez nous, il n’y a pas de connotation religieuse. On se retrouve tout simplement entre nous pour un bon repas. On se fait plaisir.

Divock Origi : Ça consiste d’abord à passer de bons moments en famille. J’ai l’habitude de retrouver les miens à cette période de l’année. Cela a toujours été le cas. Cette année, je ne vais pas déroger à la règle puisque je vais rentrer chez moi en Belgique pour fêter ça.

Quel genre de réveillon ?

Sébastien Corchia : Cette fois, c’est moi qui invite ! On va organiser un gros repas à la maison. Il était plus simple que ma famille monte sur Lille. En fin de soirée, on s’offre les cadeaux. Je n’ai rien commandé au Père Noël, j’adore les surprises. De toute façon, je ne suis pas difficile, tout me fait plaisir. En revanche, je ne dirai pas ce que j’ai prévu pour ma compagne. C’est top secret. Il ne doit y avoir aucune fuite !

Divock Origi : Pour être honnête, ce sera très simple. Si c’est moi qui cuisine ? (il se met à rire) Non, non, il ne vaut mieux pas. Ce n’est pas vraiment ma spécialité ! En ce qui concerne le repas, c’est ma mère qui s’en occupe et qui improvise de bons petits plats différents chaque année.

Quel menu ?

Sébastien Corchia : Que vas-t-on manger ? Je sais simplement qu’il y aura de la pintade au programme. C’est la spéciale Noël, l’incontournable. Avant ça, j’imagine que mes invités auront droit à des huitres, et autres fruits de mer. Moi je passerai mon tour. Je n’aime pas trop ça.

Pape Souaré : Chez nous, ça tourne forcément autour du poulet avec une bonne sauce pour l’accompagner. On mange toujours très bien au Sénégal de toute façon. Mais là, ça reste quand même un repas exceptionnel.

Ton plus beau cadeau ?

Jonathan Delaplace : (sans hésiter) Là, comme ça, spontanément, je pense à ma première console de jeux. C’était une Nintendo, la NES. Avec mon frère, on y a joué pendant des années, on passait parfois des journées entières dessus. On avait Super Mario Bros et Duck Hunt, le jeu qui consistait à tuer des canards en les visant avec un pistolet. C’était le feu, ça ! Ça a marqué ma jeunesse. J’y repense très souvent.

Divock Origi : (il réfléchit) Je me rappelle d’une année où je voulais à tout prix le jeu vidéo FIFA, que j’ai fini par avoir, d’ailleurs. Je ne me souviens plus de quelle édition il s’agissait, mais une chose est sûre, c’était mon premier de la série et il était sur Playstation 2. Depuis, je suis un gros fan, y compris du 15, le dernier. (il s’adresse au rédacteur de LOSC.fr) Toi aussi ? On se fait un match quand tu veux !

Quand l’enfant devient père…

Jonathan Delaplace : Je suis papa depuis quelques semaines. Mon fils va donc vivre son premier Noël. Même s’il ne comprendra pas bien ce qu’il se passe, il aura lui aussi droit à ses cadeaux au pied du sapin. Rien de très original : des vêtements et des jouets pour bébés, notamment un livre d’éveil qui fait de la musique et du bruit quand on le froisse.

La suite de l’interview croisée est à retrouver demain sur LOSC.fr.