Grand Stade : les Anciens lillois de la partie

Le LOSC étrenne ce soir le Grand Stade et ouvre avec lui, une nouvelle page de son histoire. Pour cela, quoi de mieux que d’inviter les noms qui ont construit, au fil des époques, l’écurie nordiste. Retrouvailles chaleureuses, poignées de mains amicales et larges sourires étaient de mise pour tous ces joueurs issus de générations différentes, mais simplement ravis de faire partie de l’événement.

Bernard Lecomte (Président du LOSC de 1993 à 2000) : « Je suis ravi et très touché d’être là ce soir. Je retrouve des visages que j’ai côtoyés durant de nombreuses années : cela me procure beaucoup de plaisir. Ils sont en pleine forme, c’est une superbe chose. J’ai été un chainon dans l’histoire. On a travaillé avec nos petits moyens de l’époque pour que le club survive, puis évolue afin de devenir comme nous le connaissons aujourd’hui. Je voudrai aussi tirer un coup de chapeau au Président Seydoux, qui a poursuivi sur cette voie. »

Eden Hazard (2005-2012) : « J’ai fait un petit détour depuis l’Angleterre avant la reprise du championnat. Je suis évidemment plus qu’heureux de découvrir ce stade. Et puis je me dis que, moi aussi, à mon niveau, j’ai aidé à la construction du LOSC. Je suis fier d’assister à cet événement. Et j’aimerais, pourquoi pas, un jour fouler cette pelouse… »

Peter Franquart (2005-2011) : « On assiste à la concrétisation d’un magnifique projet. Tout le monde va pouvoir prendre du plaisir, aussi bien les joueurs sur le terrain, que les supporters dans le stade. Beaucoup d’émotions nous animent ce soir, nous vivons un moment rare de l’histoire d’un club mais aussi du championnat de France. C’est en tout cas une juste récompense pour tous les passionnés du LOSC qui suivent l’équipe depuis des années. L’ambiance est au rendez-vous ! »

Adick Koot (1998-1999) : « J’étais venu observer le chantier il y a quelques mois. Aujourd’hui, c’est la grande première. À mon époque, on sentait que le club allait devenir important sur la scène française. Il manquait le petit sursaut de maturité que l’équipe a acquis lors des années suivantes. C’est un honneur pour moi d’avoir été invité à ce premier match. J’ai accepté tout de suite et je ne boude pas mon plaisir. »

Fernando d’Amico (1999-2003) : «  Le rêve devient réalité ce soir. Ce stade est extraordinaire, on l’attendait depuis quelques années. C’est une immense fierté d’avoir fait partie de ce club et de pouvoir assister à l’ouverture de ce stade tant voulu par tout un peuple. Je continue de suivre assidument les résultats de LOSC, j’ai gardé quelques amis dans le Nord et je n’aurais raté cette soirée exceptionnelle pour rien au monde. »

Dagui Bakari (1999-2002) : « C’est un moment fabuleux, il n’y a pas assez d’adjectifs pour qualifier cette enceinte. Gigantesque, fantastique, cela résume bien ce stade, mais aussi l’évolution du club qui a pris une dimension incroyable ces dernières années. J’ai hâte de voir les matchs de Champions League qui vont se dérouler ici : ça va être de la folie. »

Bernard Gardon (1974-1977) : « J’avais aperçu la maquette du stade, mais le découvrir en vrai est indescriptible. Je suis fier d’être venu pour ça. L’invitation est charmante et c’est un honneur de pouvoir admirer aux premières loges ce formidable travail. Nous avons œuvré dans ce sens dans le passé. Aujourd’hui, le club trouve la place qu’il mérite. Cela récompense le travail de nombreuses équipes. Je suis enchanté d’être ici. »

Arnaud Dos Santos (1977-1981 et 1982-1984) : « Ce soir, le LOSC entre dans la cour des grands. Le bébé sorti de terre est magnifique. Je ressens beaucoup d’émotion. Il y a peu d’équivalent en France… Cet environnement favorable est simplement ce qui manquait à l’équipe de Rudi Garcia pour se porter au plus haut niveau. »